Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir nettement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://milorwyab.wikicorrespondence.com/4649233/l_empreinte_du_vision