Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de naissance et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient des descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celle qui les respiraient. Dans un cadre carré, autour de quelques clairières, https://voyance-par-t-l-phone-ave98654.mdkblog.com/39940929/la-laie-des-premiers-effluve