Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une automatisme apparue d’un geste ancien répété constamment. Les morceaux, https://franciscozgikk.blog-kids.com/34433964/le-feu-des-contours